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 [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour

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Sindanarie




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Sindanarie
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Duché/Comté: Limousin et Marche
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Vos avis, chers membres de l'Institut ?

Citation:
Arielle de Gilraen de Dénéré

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Comtesse de Hoorn
Baronne de Veurnes
Dame d'Azé et de Dissé sous le Lude

Epouse de Jean-Jacob de Gilraen
Veuve de Sébastien Deldor de Plantagenest
Mère de Feu Mathieu Deldor de Plantagenest, Rose Deldor de Plantagenest,
Laurens de Gilraen, Persevael de Gilraen


Enfance

Durant
toute son enfance, Arielle ne fut certaine que de deux choses :
l’identité de ses parents, et son statut d’enfant illégitime. Elle
naquit, selon ce qui lui fut conté dès son plus jeune âge, au château de
Mespech, en Périgord, issue d’une aventure que le seigneur, Gontran de
Siorac, aurait eu avec une servante nommée Pauline Miroul.

Elle
grandit avec l’amour de sa mère et participe aux jeux des fils légitimes
du seigneur, qu’elle pense être ses frères, avant d’être placée chez un
ami du père, le Chevalier de la Brune, l’année de ses douze ans. La
chambrière qu’elle devint alors suivit son maître sur les chemins du
Royaume de France, parvenant à Bordeaux. Elle fut attachée, quelques
temps plus tard, au service de Constance Pinet, riche bourgeoise
angevine, et maîtresse du chevalier.

Premiers émois et Découverte de la Politique

Ayant
réussi à mettre de côté un certain nombre d’écus, Arielle quitta ce
travail et s’installa à La Flèche, village voisin d’Angers. Elle fit là
une rencontre importante et décisive pour son avenir en la personne du
duc de Cholet, Tydual de Dénéré, qui s’impliqua dans les luttes
d’indépendance menées par la Bretagne et l’Anjou, s’attirant par ces
actes les foudres de Sa Majesté Levan III.

Secrètement amoureuse
du duc, elle commença à s’investir en politique, rejoignant le parti
SCO, et fut ainsi aux côtés de Pâquerette, fille du duc Tydual. Obtenant
le statut d’artisan, elle ouvrit une fromagerie, et devint l’assistante
du tribun d’alors, dame DarkLiloche Verne, puis secrétaire pour le
maire, Sébastien Deldor de Plantagenest.
Son amour pour le duc se
trouve condamné lorsque ce dernier lui apprend qu’il a diligenté une
enquête à son sujet. Il s’avère en effet que la mère d’Arielle, de son
vrai nom Pauline de Machaut, était la légitime mais martyrisée épouse de
Clovis de Dénéré, parent de Tydual. Dame Pauline a donc fui vers le
sud, et fut recueillie par le baron et la baronne de Mespech, qui les
dissimulèrent sous une fausse identité pour les protéger.

Suite à
cette révélation, le duc de Créans, Ashram Verne, avoua ses sentiments à
Arielle. Rival politique de Tydual, il était également l’ancien fiancé
de Pâquerette, et père adoptif de la jeune DarkLiloche Verne. Arielle
étant baptisée depuis le dix-huit avril mil quatre cent cinquante
quatre, cérémonie officiée en l’église de La Flèche par le père Bargin,
ils se fiancèrent rapidement, mais sans pouvoir se marier, puisque le
duc mourut peu après.

Elle parvint, durant quelques semaines, à
remettre sur pieds le journal Flèche Dimanche, mais dû l’abandonner pour
se consacrer à une tasche plus importante, car nommée au poste
d’ambassadrice d’Anjou au Wiltshire le vingt-sept août mil quatre cent
cinquante quatre, puis également au Somerset, deux comtés
d’outre-Manche.
Arielle rencontra un véritable succès en Angleterre,
s’attachant la sympathie de ses collègues diplomates, mais aussi de
petites gens tels que les habitants de la ville de Bath, qui remirent à
la jeune femme les clefs de leur ville et le titre de première citoyenne
d’honneur.

Troubles en Anjou

Le vingt-trois
septembre mil quatre cent cinquante quatre, Pâquerette de Dénéré,
cousine d’Arielle, alors duchesse d’Anjou, décréta l’indépendance de
l’Anjou, suivant ainsi le récent exemple breton. La réponse du Roy,
représenté à l’époque par feu le prince Héraklius de Montmorency, fut
sans appel : tout accès aux caisses ducales fut retiré à l’Anjou,
empêchant de fait le paiement des soldats et des mineurs. Le duché ayant
une importante dette financière, la royauté argua que l’Anjou ne
pourrait se séparer de son débiteur sans en souffrir grandement.

Arielle,
en tant qu’ambassadrice d’Anjou, se démena auprès de ses contacts
anglois pour trouver de l’aide monétaire. Elle en trouva, mais tard, et
pas assez, l’Anjou ayant du revenir sur ses déclarations après avoir
passé une semaine sans monnaie pour assurer les dépenses courantes. Un
vice de procédure fut invoqué, et le duché pu retrouver l’accès à ses
coffres ainsi que la clémence royale sans trop perdre la face.

Premier deuil et premier mariage

Malade,
elle se retire en sa demeure fléchoise. Elle en sort cependant
lorsqu’elle apprend que son fiancé, le duc Ashram Verne, est parti se
battre en duel contre un poitevin ayant insulté l’Anjou publiquement :
Faoeit de Surgères, comte du Poitou durant trois mandats consécutifs.
Ashram fut vainqueur, mais mis en accusation dès son retour en Anjou
pour Haute Trahison, sous des accusations non fondées, d‘après les dires
de la comtesse. Sans soins, il fut emprisonné, et la blessure reçue
lors du duel s’infecta, provoquant le décès du duc quelques jours plus
tard.

Dans cette épreuve, Arielle put compter sur le soutien de
son parrain, Lamfhad d’Ys, mais également sur l’amitié de Sébastien
Deldor de Plantagenest. Bientôt ils se fiancent, et s’épousent le quatre
janvier mil quatre cent cinquante cinq en la chapelle Sainct Saturnin
d'Azé.
En présent d’épousailles, la duchesse Pâquerette, devenu
duchesse du Lude suite à la réception de son fief de retraite, accorda
le fief de Dissé-sous-le-Lude à Arielle. L’époux reçu pour sa part le
fief d’Azé des mains de sa cousine Ksandra de Plantagenest.

Ce
même mois la vit nommée Ambassadrice Royale en Angleterre par Nakuneuil
d’Azayes, poste qu’elle quitta le jour de sa démission de la charge de
Grand Ambassadeur Royal.

Mais l’Anjou, toujours désireux de
s’affranchir de la tutelle Royale, déclara à nouveau son indépendance au
cours de l’hiver mil quatre cent cinquante cinq, mettant Arielle dans
une situation délicate durant plusieurs semaines. Vue comme une possible
traître tant du côté parisien qu’angevin, elle tint à garder toute
transparence sur ses activités , refusant tout secret dont certains
auraient pu se servir contre elle.

Le Roy et la Curia Regis
répondirent à cette déclaration par une levée de ban générale, et, de
par tous les comtés et duchés du Royaume, les soldats affluèrent,
regoupés en un gigantesque Ost qui marcha sur l’Anjou et se posta devant
Angers pour l’assiéger. Nommée chef maréchale, bien qu’enceinte
jusqu’aux yeux et prête d’accoucher, Arielle se jeta dans la bataille à
corps perdu, certaine de mourir, tuant au passage quelques hommes, dont
un certain Will Blackney.

Ce dix mars mil quatre cent cinquante
cinq, ayant perdu les eaux au beau milieu du champ de bataille, elle mit
au monde, difficilement, un fils, prénommé Mathieu. Assistée par sa
cousine Oya d’Azayes, ses blessures s’infectèrent, et elle ne dut la vie
sauve qu’à l’intervention d’un médicastre envoyé par Juliano di
Juliani, alors responsable des finances de la couronne de France, suite à
un appel passé par son mari, lequel ne reçu dans un premier que peu de
réponses Le prince de Fontainebleau fut le parrain du nouveau-né, lors
du baptême célébré en la chapelle d’Azé. La marraine fut Ayla
d’Appérault, mère de la défunte Reine de France.
A ce baptême,
Arielle réussit à réunir la Reine et sa mère, le duc Juliano di Juliani,
ainsi que sa famille Dénéré, ayant ses racines en Bretagne, alors que
ce duché était en pleine guerre avec la France. D'autres personnes
furent présentes, tels que Nicolas de Brassac, Vinkolat de Gisors, Kirah
du Breuil, Nakuneuil d'Azayes, Oya d'Azayes et son époux Barbu, pour le
camp francois ; la duchesse bretonne de l'époque Juallia de Dénéré,
Paquerette de Dénéré, pour le camp breton ; en sus de représentants
étrangers comme : Phoenix d'Aragón, le duc du Sussex Zero Star
Lancaster et la Princesse Régente d'Angleterre Brianna Tudor.

En
avril mil quatre cent cinquante cinq, Arielle entra au conseil ducal
d’Anjou, demeurant tout d’abord simple conseillère, puis en tant que
bailli. L’Anjou, ruiné par la guerre, était à reconstruire, et, malgré
les bonnes volontés, il fallut du temps pour résorber la dette et
soigner l’orgueil bafoué du duché.
Malgré un traité de paix signé entre le duché et le Royaume, les relations restèrent tendues et fragiles.

En mai, elle met au monde son unique fille, qui sera prénommée Rose.

Les Ambassades Royales, un poste difficile

Ambassadrice
royale pour l’Angleterre depuis janvier mil quatre cent cinquante cinq,
en remplacement de Jean-Jacob de Gilraen qui avait donné sa démission,
elle est nommée, le vingt-trois mai de la même année, au poste de
Grande Ambassadrice Royale, par Catherine Victoire d'Appérault, Reine de
France. Arielle prit très au sérieux la mission d’un poste créé pour
combler le départ du pair Nakuneuil d’Azayes, lequel manquait de temps
pour pouvoir s’y consacrer pleinement.

A l’époque, les
Ambassades Royales ne comptaient que quatre membres, Arielle étant la
plus active et non moins motivée. Elle suivit donc à la lettre les
directives de la Reine, pour qui le Grand Ambassadeur se devait d’être
l’image et la présence de la France à l’étranger.
Elle commença par
réorganiser les Ambassades Royales, en dotant l’Institution d’une Charte
des Statuts et Responsabilités devant être signé par tous ceux qui
travaillaient aux Ambassades, et même par la Grande Ambassadrice ! De
grandes campagnes de recrutement furent menées, afin de doter chaque
Pays Etranger d’un ambassadeur. Chaque diplomate royal devait avoir ces
qualités : un professionnalisme impeccable, la courtoisie, la
discrétion, une présence régulière, et la connaissances des langues.

Mais
son plus grand blocage vint de l’Administration Royale, malgré toutes
les tentatives de discussion et de négociations de la comtesse.
Le
Grand Ambassadeur, en échange de la lourde charge de gérer les
Ambassades Royales, ne bénéficiait -et c’est toujours le cas à ce jour-
d’aucun pouvoir de décision autre que la banale gestion des
ambassadeurs, et le statut de cette fonction nullement défini par
rapport au pouvoir royal.

Elle acquis la certitude que jamais ce
poste, pourtant si important, ne serait considéré comme un Grand
Office, à l'image des Archives du Royaume de France, instaurées par feu
l'anachorète Rekkared de Sìarr. Pressée par des dossiers urgents, elle
lance un appel à la Curia Regis durant l’hiver mil quatre cent cinquante
six. En mars, elle leur posa même un ultimatum, menaçant de poser sa
démission si elle n’était pas intégrée à la prise de décisions.
Outragée,
la Pairie répliqua par de minces et fausses promesses, plaçant les
Ambassades Royales sous la tutelle du pair Cronos d’Yvetot.
En récompense de son travail pour la couronne de France, elle fut nommée écuyère de l’ordre de Saint Ouen.

Désabusée
par cet évènement, Arielle démissionnera le vingt-trois juin mil quatre
cent cinquante six de sa fonction de Grande Ambassadrice, poste
toujours vacant à ce jour.

La déchéance d’un mariage d’amour

Après
la naissance de Rose, les relations entre Arielle et son mari se
dégradèrent, l’époux changeant de tempérament, devenant un homme
ambitieux et attiré par le pouvoir, délaissant de fait femme et enfants.

En août mil quatre cent cinquante cinq, Sébastien Deldor s’engagea
sur la liste électorale de dame Smartfluid de Jurefacto, en tant que
second membre. Cette campagne se déroula dans un fort mauvais climat, la
tête de liste recueillant les injures et la haine de nombreux angevins,
portant la malchance au reste des membres de la liste.
Cependant
élus avec la liste de Smartfluid, Arielle tenta de se rapprocher de son
époux, mais sans succès, et, en moins de quinze jours, un silence total
et douloureux s’installa dans le couple.

La dame de
Dissé-sous-le-Lude se retira en le petit castel de sa seigneurie pour
réfléchir à tout cela à tête reposée, et échappa de peu à la mort. Un
inconnu mit en effet le feu à son castel, faisant s’écrouler le batiment
sur lui-même après avoir longuement flambé.
Se trouvant dans le
cellier, donc au sous-sol, quand survint le drame, Arielle survécut,
passant néanmoins plusieurs jours coincée dans les décombres, avant que
des proches venus fouillés le château à sa recherche ne la retrouvent.

Cet
évènement ne ramena pas Sébastien Deldor près de son épouse, étant
occupé à reprendre le château du duché d’Anjou par la force, une révolte
ayant poussé hors de son trône la duchesse Smartfluid. Il sembla peu se
réjouir de retrouver son épouse vivante, et Arielle, désespérée par le
constat du désastre de son mariage, quitta l’Anjou et son mari,
emportant avec elle ses enfants.

Elle se réfugia tout d’abord en
Maine, chez sa cousine Fifounijoli de Penthièvre, puis en Alençon, chez
feue dame Estelle de Varenne, surnommée Blondeur. Ayant continué sa
route vers Paris, elle trouva en la capitale un accueil amical chez feue
la princesse Ann de Montmorency, parente de Sébastien Deldor.
Elle y reçoit alors une lettre de Dame Blondeur, l’informant que son mari se trouvait chez elle, blessé.

Ayant
repris quelque espoir de pouvoir sauver son mariage, Arielle déchanta
en le voyant apparaître, lors du mariage de Son Altesse le prince
Morgennes de Mortain et de dame Armoria d’Yflan, au bras de dame
Smartfluid.

Désespérée, et désormais certaine que son mariage
n’aurait plus d’avenir, elle partit pour Bruges, passant quelques temps
chez Louis-Hubert d’Harlegnan, dit le Cerf. C’est là qu’elle apprendra
le décès de Sébastien Deldor, parti à sa recherche et tombé dans une
embuscade tendue par des brigands sur les routes de Flandres.

Folle
de douleur, elle se réfugie dans le travail et est alors approchée par
messire François Noel de Voltaire, qui lui présente son projet : créer
une Académie Royale. Nommée Académicien Royal le vingt-sept novembre mil
quatre cent cinquante sept, Arielle fonda l’Institut de Linguistique en
décembre de la même année.

Une nouvelle famille

Plongée
dans le travail et dans l’éducation de ses enfants pour s’éviter de
trop songer au trépas de son premier mari, Arielle voit petit à petit
s’immiscer dans son existence, le comte de Nijmegen, Jean-Jacob de
Gilraen, revenant en Flandres après avoir passé une longue période en
Hollande, ayant aidé à la création de cette province.

Une amitié
certaine unit le comte et la veuve, qui se mua bientôt en d’autres
sentiments plus charnels, poussant l'homme à se déclarer auprès d’elle
et à lui faire une cour assidue. Ils se fiancèrent peu après et
entamèrent la construction d’un hostel particulier en Paris, dans le
quartier du Marais, afin d’avoir un pied à terre en la capitale. Cette
demeure, équipée de tout le confort qui se peut espérer d’une maison
noble, permit à la Grande Ambassadrice qu’elle était alors, de quitter
le logement froid et petit dont elle disposait dans les locaux des
Ambassades Royales.

Ils s’épousèrent le six avril mil quatre
cent cinquante six, en la cathédrale de Bruges, cérémonie dirigée par
monseigneur Bigornéa.

Le Béarn, de nouveaux horizons

Sur
la proposition du duc Juliano di Juliani, rencontré lors du bal de la
Saint Nicolas (donné à Paris en décembre mil quatre cent cinquante
quatre), Arielle quitte les Flandres le dix-huit avril mil quatre cent
cinquante six, avec son époux et ses enfants, ainsi que plusieurs
membres de sa belle-famille : Mormynette de Gilraen et son époux
Charlesdelatour de Saint Ange, Telya de Saint Ange et son époux
l’Unconnu d’Harlegnan, ainsi qu’Aéliana, dame de parage de Mormynette.

Ils
se rendent en Béarn, en vue de s’y installer et d’aider le prince de
Fontainebleau à construire ce comté récemment arraché aux mains des
barbares par le Roy. Arielle s’investit donc en politique, devenant la
porte-parole du tout premier conseil comtal de Béarn.
Assez vite,
des tensions apparaissent entre Arielle, Telya d’Harlegnan et son époux
l’Unconnu. S’éloignant d’eux pour ne pas envenimer leurs relations plus
avant, elle se consacra à sa famille, et accueillit auprès d’elle la
jeune Sybille Von Frayner, qui devint pour un temps sa damoiselle de
parage, et vécu une brève idylle avec Mathieu Deldor, avant de s’en
retourner en Lorraine où elle devint duchesse.

Nommée
chancellière du comté de Béarn au cours du mois de may mil quatre cent
cinquante six, Arielle entreprit de mettre en place des ambassades
fonctionnelles et dynamiques.
Elle signe, avec le comte Fauville de
Cheroy, letout premier traité du comté de Béarn : un Traité de
Coopération Judiciaire entre le Béarn et l'Armagnac-Comminges, en date
du quatorze juillet mil quatre cent cinquante six.

Enceinte de
son époux, elle accouche difficilement, en juin mil quatre cent
cinquante six, d’un fils qui sera nommé Laurens. Alors qu’elle reprend
des forces, elle est contrainte de retrouver d’urgence les couloirs de
l’ambassade, le Régent de Béarn ayant déclaré la guerre à la Gascogne
toute proche.
Ce comté, rattaché au royaume de France en même temps
que le Béarn et que l’Armagnac Comminges, ne s’était pas aussi bien
construit que le Béarn, se trouvant souvent en butte à des luttes
internes.
Le prince di Juliani envoya donc une armée assiéger la
ville gasconne de Dax, mais la fatigue du vieil homme l’obligea à se
retirer quelques temps plus tard, laissant la direction du comté à la
chancellière.
Arielle fit tout son possible pour sortir le comté de
cette crise grave, tandis que son fils aîné, Mathieu, devenait maire
d’Orthez à tout juste treize ans.

Arielle se découvrit alors un
demi-frère, en la personne d’Erel de Dénéré, fils naturel que Clovis de
Dénéré eut avec une villageoise d’une petite bourgade béarnaise, alors
qu’il parcourait la campagne de ce comté, y cherchant sa femme et
l’héritier qu’il pensait lui avoir donné.

La situation béarnaise redressée après les évènements de Dax, Arielle se porta candidate aux élections comtales.

Elle
fut élue comtesse de Béarn le seize septembre mil quatre cent cinquante
six, héritant d’une couronne comtale difficile à porter en ces temps de
troubles, d’autant plus qu’elle se découvrit enceinte une nouvelle
fois, mettant au monde quelques mois plus tard le jeune Persevael de
Gilraen.

Tentative d‘assassinat

Le nouveau conseil
tenta de s’unir pour mener à bien le retour dans le droit chemin du
comté de Béarn en proie à de dangereux groupes de brigands, attirés par
d’éventuelles richesses à saisir, mais des tensions apparurent
rapidement, et la comtesse se rendit compte que l’on complotait contre
elle au sein même du conseil. Une ville du comté menaça de faire
sécession, et le propre fils d’Arielle, Mathieu, avait trahi sa mère
pour mieux se faire une place dans la sphère politique béarnaise.
La
comtesse en vint à renier son fils, au cours d’une violente dispute
ayant eu lieu à l’Oustau de Gilraen, une demeure typique du Béarn acheté
par Arielle et son mari à leur arrivée en ce comté. Cependant, suite à
son agression, elle n'a point souvenir de cette dispute, ce sont ses
proches qui lui contèrent cet épisode.

Sous son mandat de
comtesse, un comité de la culture et du patrimoine voit le jour en Béarn
le trente septembre mil quatre cent cinquante six. Ce comité, divisé
en trois départements (le bureau des animations, le bureau de la culture
et le bureau du patrimoine) est une institution reliée au conseil
comtal qui œuvre pour sauvegarder et promouvoir la culture au sein du
comté de Béarn.
La Charte des Réservistes vit également le jour sous son mandat, signée le vingt-cinq septembre de la même année.

Mais,
fortement agacée par le climat de trahison et par les diverses vilenies
commises de part le comté, Arielle se rendit en place publique pour
faire une déclaration à tous les béarnais, espérant ainsi leur faire
prendre conscience de leur attitude néfaste, au début du mois d'octobre
mil quatre cent cinquante six.

La comtesse se fit alors agresser
par un homme masqué, qui tenta de lui trancher la gorge, et ainsi
l’assassiner. Elle survécu cependant, ne sachant guère comment
elle-même, pris en charge presque aussitost par dame Melian de Ventoux,
la médicastre qui s’occupa d’elle durant de longues semaines.

Sur
les lieux mesme de l'incident, dame Melian décida de procéder aux
premiers soins, et, avec l'aide d'une dame nommée Diane, elle s'attela à
recoudre les chairs déchirées, otant un à un les doigts posés par la
vicomtesse pour faciliter l'ouvrage de la médicastre. La blessure fut
ensuite pansée et le corps de la comtesse déposé sur un brancard
(fabriqué par Yann, un soldat de l'ost béarnais), puis dame Melian
ordonna le transport vers l'Hospital de Pau.

C'est dans ce lieu
qu'elle fut soignée avec attention par la dame de Beost, veillée par sa
fille et plusieurs membres de sa famille.
Suite à son agression, une
annonce faite par la porte-parole Leslou_1 en date du six octobre mil
quatre cent cinquante six, informe les béarnais de la nomination de dame
Chloé de Chesnais en tant que régente du Béarn.

L'agresseur fut
poursuivi et retrouvé quelque temps après, tué sans avoir donné ni son
nom, ni ses motivations. Il semble cependant qu'il ait accompli son
geste sans complices ni commanditaire.

A son réveil, la comtesse
apprit que son fils Mathieu avait quitté le Béarn, et que nul n’eut de
nouvelles de lui. Il fut porté disparu, mais Arielle reste persuadée que
son fils est mort et qu’elle ne le reverra plus. Ayant besoin de
prendre du recul, elle se retire chez une amie champenoise, dame Beeky,
vicomtesse d'Atigny et veuve de Ricoh d'Appérault, qui l’accueillit à
Reims.

Peu après, la comtesse entra en retraite dans un couvent
près de Sainte-Ménehould, pour prier et réfléchir sur sa vie et son
avenir.

Retour à la vie publique

Mais, assez
rapidement, elle ressentit le besoin de revoir ses enfants, et la mère
supérieure attacha donc à son service le père Grégoire, un clerc devenu
son confesseur, l’accompagnant dans tous ses voyages lorsque ses propres
occupations religieuses ne requièrent pas sa présence.

Aujourd’hui,
la comtesse est remise de cette attaque et a retrouvé une vie normale,
mais sa blessure laisse une cicatrice disgracieuse sur son cou qu’elle
dissimule par un foulard. Elle ne peux plus marcher sans canne, sa voix
n’est plus qu’un murmure parfois difficile à discerner, et certains
souvenirs se sont échappés de sa mémoire sans qu'elle ne les ait
retrouvés depuis. Malgré cela, elle est heureuse de toujours être en
vie, et de pouvoir continuer à veiller sur les siens.

Elle a été
nommée Grand Académicien Royal par les collège des académiciens royaux
dans le courant du mois d’octobre, pour remplacer messire De Voltaire
disparu sans laisser de traces, et a reçu la validation de cette
élection par le Grand Chambellan de France, Sa Grandeur Nebisa de
Malemort, en ce seize novembre mil quatre cent cinquante sept.
Son
mandat s'est achevé le dix-huit février mil quatre cent cinquante huit,
date à laquelle fut reconnue par le Grand Chambellan de France le
nouveau Grand Académicien Royal, dame Sindanarie Carsenac.

Ennuis héraldiques en Hollande

Le
comte Jean-Jacob de Gilraen, à l'issue de son tout premier mandat de
comte de Hollande, se choisit en tant que fief de retraite la terre de
Nijmegen, réputée comme étant la plus riche et la plus fertile.

Mais,
suite à des recherches effectuées par les instances héraldiques du
Saint Empire, il s'est avéré que le fief de Nijmegen ne fait point
partie des terres de Hollande. Il fut donc mandé au comte de bien
vouloir se séparer de la dite terre au profit d'une autre, ce que
l'époux d'Arielle refusa, sachant fort bien qu'il ne récolterait qu'une
terre bien moins rentable. Des négociations suivirent, mais le comte fut
finalement obligé d'échanger le comté de Nijmegen contre celui de
Hoorn, à sa grande déception.
Les deux époux entretiennent désormais une certaine rancoeur envers l'Hérauderie de Hollande.

Une comtesse à Belrupt

Le
quatre janvier mil quatre cent cinquante huit, la comtesse entre à
l'Université de Belrupt en tant qu'enseignante, elle y dispense des
cours de diplomatie. Elle est depuis devenue doyenne du département
idoine, et membre du Conseil d'Administration de l'Établissement.

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[A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_minipostSujet: Re: [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_minitimeVen 16 Juil - 3:49 [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_quote_fr [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_edit_fr [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_delete [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_ip

Rien à redire très complet

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[A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_minipostSujet: Re: [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_minitimeDim 18 Juil - 22:50 [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_quote_fr [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_edit_fr [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_delete [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_ip

Rien à redire non plus pour ma part.

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[A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_minipostSujet: Re: [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_minitimeMar 20 Juil - 4:25 [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_quote_fr [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_edit_fr [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_delete [A valider] Arielle de Gilraen de Dénéré, par Dame Eloin Donatello-Bellecour Icon_ip

Je
dirais même que ce doit être un des livres les plus complet à ce jour,
j'aimerais pouvoir accumulé autant d'infos alors que de mon côté mes
sources me lâchent Evil or Very Mad

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